Une étude menée en 2009 par l’ADST-RP de Paris a abordé le vécu du risque chimique chez les peintres via une approche psycho-sociologique. Il s’avère que s’ils n’ont que peu de connaissances concernant les compositions des produits, en revanche, les pictogramme sont connus et utilisés. Un travail d’information et de formation sur les risques encourus lors de l’utilisation des peintures doit donc être mené par les services de santé au travail chez cette population de travailleurs qui place la qualité de son travail et la satisfaction des clients avant tout.